Hors-saison de la 8ème édition

« 200 mètres » au Théâtre + Cinéma - Scène Nationale Grand Narbonne

Vendredi 8 avril 2022 à 18h30

En partenariat avec Ciné-Palestine Toulouse Occitanie et invité par l‘Association de Coopération Bages/Jalboun – suivi d’une rencontre avec Nour Alrabie

Un fiction d’Ameen Nayfeh
Palestine, Jordanie, Qatar, Italie, Suède • 2020 • 90min – VOSTF

Mustafa d’un côté, Salwa et les enfants de l’autre, une famille vit séparée de chaque côté du Mur israélien à seulement 200 mètres de distance. Ils résistent au quotidien avec toute la ruse et la tendresse nécessaire pour «vivre» comme tout le monde, quand un incident grave vient bouleverser cet équilibre éphémère. Pour retrouver son fils blessé de l’autre côté, le père se lance dans une odyssée à travers les checkpoints, passager d’un minibus clandestin où les destins de chacun se heurtent aux entraves les plus absurdes.

200 mètres affiche

« Little Palestine » au Cinéma Le Grand-Palais à Cahors

Mardi 22 mars 2022 à 18h30

En partenariat avec l’AFPS46 et Ciné-Palestine Toulouse Occitanie 

Un film de Abdallah Al-Khatib
Liban, France • 2022 • 1h29 – VOSTF

Le quartier de Yarmouk à Damas en Syrie a abrité le plus grand camp de réfugiés palestiniens au monde, de 1957 à 2018. Quand la Révolution syrienne éclate, le régime de Bachar Al-Assad voit Yarmouk comme un refuge de rebelles et un noyau de résistance. Il encercle le quartier et met en place un siège. Progressivement privés de nourriture, de médicaments et d’électricité, ses habitants se retrouvent coupés du reste du monde. Abdallah Al-Khatib est né à Yarmouk et y a vécu jusqu’à son expulsion par Daech en 2015. Dès 2011, armé d’une caméra, il documente avec ses amis le quotidien des assiégés. Face aux bombardements, aux déplacements forcés et à la famine, ils recourent à la solidarité, l’éducation, la musique, l’amour et la joie.

Le cinéma a ce pouvoir de nous emmener dans des endroits inaccessibles. Grâce aux images prises sur le vif depuis l’intérieur du camp – et grâce à un impressionnant travail de montage – Little Palestine nous donne à voir la réalité de la vie en état de siège. La caméra d’Abdallah Al-Khatib déambule dans les rues à la rencontre des habitant-e-s, des enfants, de sa propre mère qui prend soin des personnes âgées du quartier. Des existences transformées par la guerre, à la temporalité bouleversée par l’enfermement et la faim. Malgré les difficultés, Abdallah Al-Khatib n’a jamais cessé de tourner, sans imaginer alors que ses images deviendraient un film : Little Palestine est un témoignage précieux, vibrant et nécessaire.

Suivie par une rencontre avec Karam Al Afri. Karam est palestinien et a vécu jusqu’à l’âge de 18 ans au camp de Yarmouk qu’il a dû quitter en 2012. Aujourd’hui, il vit et travaille à Toulouse.

« Little Palestine » à
l'American Cosmograph à Toulouse

Jeudi 6 janvier 2022 à 20h30

En partenariat avec Ciné-Palestine Toulouse Occitanie, avant-première suivie d’une rencontre avec le réalisateur Abdallah Al-Khatib et précédée d’un interlude musical par le duo Semi-Bémol.

Un film d’Abdallah Al-Khatib
Liban, France • 2022 • 1h29 – VOSTF 

Le quartier de Yarmouk à Damas en Syrie a abrité le plus grand camp de réfugiés palestiniens au monde, de 1957 à 2018. Quand la Révolution syrienne éclate, le régime de Bachar Al-Assad voit Yarmouk comme un refuge de rebelles et un noyau de résistance. Il encercle le quartier et met en place un siège. Progressivement privés de nourriture, de médicaments et d’électricité, ses habitants se retrouvent coupés du reste du monde. Abdallah Al-Khatib est né à Yarmouk et y a vécu jusqu’à son expulsion par Daech en 2015. Dès 2011, armé d’une caméra, il documente avec ses amis le quotidien des assiégés. Face aux bombardements, aux déplacements forcés et à la famine, ils recourent à la solidarité, l’éducation, la musique, l’amour et la joie.

Le cinéma a ce pouvoir de nous emmener dans des endroits inaccessibles. Grâce aux images prises sur le vif depuis l’intérieur du camp – et grâce à un impressionnant travail de montage – Little Palestine nous donne à voir la réalité de la vie en état de siège. La caméra d’Abdallah Al-Khatib déambule dans les rues à la rencontre des habitant-e-s, des enfants, de sa propre mère qui prend soin des personnes âgées du quartier. Des existences transformées par la guerre, à la temporalité bouleversée par l’enfermement et la faim. Malgré les difficultés, Abdallah Al-Khatib n’a jamais cessé de tourner, sans imaginer alors que ses images deviendraient un film : Little Palestine est un témoignage précieux, vibrant et nécessaire.

« Naila et l'intifada »
au cinéma Le Cratère à Toulouse

Mercredi 24 novembre à 20h30 dans le cadre du Festival à propos d’Elle(s) (24 au 30 novembre 2021)

Rencontre avec Ciné-Palestine Toulouse Occitanie, animée par Colette Berthès, membre de l’équipe

Un film de Julia Bacha 
Palestine/USA • 2017 • 1h16 – VOST

Trente ans après le début de la première Intifada, appelée aussi la « guerre des pierres », la réalisatrice Julia Bacha revient sur ces années où le peuple palestinien dans son ensemble s’est soulevé contre l’occupation et la colonisation. Elle nous y plonge par le biais des femmes, à travers l’évocation de la vie et des actions d’une jeune militante du Front Démocratique de Libération de la Palestine, Naila Ayesh. Tour à tour, Naila, son mari, son fils, ses camarades de luttes – dont de nombreuses femmes – évoquent leurs souvenirs. De la première injustice – la maison familiale détruite par l’armée israélienne alors qu’elle a huit ans – à la militante féministe associative actuelle, en passant par les années d’Intifada et la trahison par les dirigeants lors des accords d’Oslo ; de la torture, la prison et la séparation d’avec son mari à la place prépondérante des femmes dans le mouvement puis à leur éviction par l’OLP ensuite, c’est toute l’histoire des cinquante dernières années de la Palestine et des Palestiniennes en lutte qui est évoquée.

Naila et l’Intifada mêle interviews, photos de famille, archives filmées et séquences animées : les souvenirs se complètent et tissent le portrait d’une femme exceptionnelle. Elle est, en même temps, ordinaire car une parmi des milliers qui luttent contre l’occupation et pour leurs droits en tant que femmes. Trente ans après, leurs combats continuent.

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« Gaza mon Amour »
à l’American Cosmograph à Toulouse

Mardi 12 octobre à 20h30

en présence des réalisateurs, Tarzan et Arab Nasser
en partenariat avec Ciné-Palestine Toulouse
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Un film de Tarzan et Arab Nasser
Palestine/France • 2021 • 1h28 – VOSTF

Issa, un pêcheur de soixante ans, est secrètement amoureux de Siham, une femme qui travaille comme couturière au marché. Il souhaite la demander en mariage. C’est alors qu’il découvre une statue antique du dieu Apollon dans son filet de pêche, qu’il décide de cacher chez lui.

Quand les autorités locales apprennent l’existence de ce trésor embarrassant, les ennuis commencent pour Issa.