Vous rencontrerez

Camille Clavel, réalisateur, après des études de littérature, étudie la peinture à l’Art Student’s League aux USA. En 2004, son film, « Sergio », remporte le Prix Spécial du Jury de Clermont-Ferrand. Ses documentaires tels que, « Vers où Israël ? » explorent des sujets complexes. Son dernier long-métrage, « Bir’em », sélectionné dans des festivals internationaux, dévoile l’histoire d’une jeune palestinienne occupant le village de son grand-père.

Bashar Zaarour, artiste et cinéaste palestinien, diplômé en beaux-arts de ManhattanVille College en 2012, s’est distingué en collaborant avec des réalisateurs palestiniens renommés tels qu’Annemarie Jacir, Muayad Alayan et Rashid Masharawi. Récemment, il a pris les rênes de la réalisation pour son documentaire « We Will Remain ». Il prépare actuellement son prochain court métrage d’animation, « 100 Birds ». (sous reserve)

Eyal Sivan, cinéaste et chercheur basé à Marseille depuis 1985 est né en 1964 à Haïfa. Réalisateur de films primés comme « Izkor » (1990) et « Route 181 » (2004), il a produit plus de 15 documentaires politiques diffusés mondialement sur Arte et la BBC. Membre honoraire du Centre européen d’études sur la Palestine. Il dirige actuellement le MA program in Film, vidéo and new media à l’École des Sciences Humaines et Sociales, University of East London (UEL).

Firas Khoury réalisateur palestinien, a obtenu une reconnaissance internationale pour son travail grâce à des courts métrages marquants tels que « Seven Days in Deir Bulus » (2007) et « Yellow Mums » (2010). En 2019, son court métrage, « Maradona’s Legs », est présenté à « Palm Springs » et reçoit 45 prix internationaux. Avec « Alam », sorti fin août 2023, il remporte le Prix du meilleur long métrage, le Prix du public et le Prix du meilleur acteur.

Hugo Darroman est docteur en études cinématographiques et monteur audiovisuel. Il a soutenu en 2023 à l’Université Aix-Marseille une thèse intitulée : « Le cinéma de la révolution palestinienne (1967-1982) : mémoire en circulation et réseaux de solidarité France-Palestine ».

Khadijeh Habashneh, réalisatrice palestinienne, débute en 1974 à l’Unité cinématographique palestinienne. Elle dirige les « Archives du cinéma palestinien » au sein de l’OLP jusqu’en 1982. Cofondatrice de l’Union des femmes palestiniennes (1980-2009) et du Centre d’Études sur les Femmes en Jordanie (1989-1992), elle coordonne des campagnes électorales en Jordanie et milite pour les droits des femmes.

Hamza Abuhamdia est artiste et militant.e franco-palestinienne et jordanien-ne. Hamza fusionne ses compétences artistiques en photographie, écriture, performance et vidéo. Iel est un membre actif de « l’atelier des artistes en exil », participe à la médiation culturelle pour des expositions et s’engage au sein d’ONG, « Palestine Nous Rassemble », « les inverti.e.s » et « Wassla ». Hamza est un orateur public et un humoriste engagé dans les causes du féminisme intersectionnel, de l’écologie et de la libération de tous les peuples exploités et colonisés.

Laurent Rojol, Réalisateur, cadreur, monteur et régisseur vidéo, travaille depuis le début des années 2000 avec des metteurs en scène tel que Roxane Borgna, des chorégraphes, des musiciens utilisant sous des formes variées la vidéo sur scène. Il intervient de la création des images, documentaires ou fictions, jusqu’à leur diffusion sur scène dans des installations mélangeant souvent images en direct, enregistrées, et interactions diverses.

Roxane Borgna, artiste pluridisciplinaire et réalisatrice de films. Elle a forgé son parcours artistique au Conservatoire de Montpellier, à l’École Florent, et a obtenu un Master Arts Audiovisuel à la Sorbonne. Sa passion s’étend également à la mise en scène, avec des créations variées telles que « Mady-baby.edu » et « Miss Julie # Soul Murder ». Elle a réalisé des documentaires, dont « Proust, Iasi, 2010 » en 2010, suivi de « Une Assemblée des Femmes Palestiniennes » en 2022.

Leila Shahid, diplomate palestinienne et cinéphile avertie. Née à Beyrouth en 1949, elle a milité dans les camps de réfugiés au Liban et puis accepté la proposition de Abou Ammar d’être nommée ambassadeur de l’OLP en 1989.  Elle manifeste un intérêt profond pour la culture et l’art en Palestine et dans la diaspora. Leila Shahid demeure une figure emblématique de l’engagement diplomatique et de la lutte pour la justice.

Longtemps enseignant à Paris VIII et critique aux Cahiers du Cinéma, Serge Le Péron, a réalisé de nombreux documentaires pour la télévision et plusieurs longs métrages de cinéma  dont : ‘Laisse Béton’, ‘J’ai vu tuer Ben Barka’ et ‘L’Olivier’. Il est depuis ces années un proche de Leïla Shahid.

Maher Shawamreh, chorégraphe et danseur palestinien, a fondé la Cie Orient & Dance Theatre à Al-Bireh, Palestine.  Il a travaillé avec de nombreuses compagnies, tels que Nicholas Rowe (AUS), Alain Platel (BEL), Koen Augustijnen (BEL), le Théâtre KVS (BEL), le Freedom Theater (PAL). Sa chorégraphie exprime la relation complexe entre oppression, identité, attentes de la communauté et pratique artistique. Il incarne le besoin de liberté de mouvement et de pensée en Palestine. 

Réalisateur, scénariste et cinématographe. Mohammed Almughanni est né en 1994 à Gaza. Il a poursuivi sa licence et sa maîtrise en réalisation cinématographique à l’école de cinéma Łódź en Pologne. Il est l’auteur de films documentaires et narratifs, dont « Blacklisted » (2020), « Son Of The Streets » (2020), « Falafala » (2019), « Operation » (2018), « Where’s the Donkey » (2018), « Shujayya » (2015) et « Halawan » (2012). Ses films ont été sélectionnés et primés dans de nombreux festivals de cinéma à travers le monde. (sous reserve)

Wissam Charaf a réalisé sept courts-métrages de fiction: « Hizz Ya Wizz », « Un héros ne meurt jamais », « L’armée des fourmis », « Après », « Souvenir inoubliable d’un ami », « Pas de panique » et « Et si le soleil plongeait dans l’océan des nues ». Son premier long-métrage « Tombé du ciel » a été sélectionné à l’ACID – Cannes. « Dirty Difficult Dangerous » son second long métrage a été sélectionné au Festival de Venise 2022.

Saleh Saadi, réalisateur plein de promesses, nous entraîne dans des récits cinématographiques captivants. Originaire de Basmat Tab’un, il a marqué les festivals internationaux avec ses courts métrages. Son film, « A’lam (Drapeau) » (2022), plonge au cœur de relations humaines complexes. Suite à un programme à l’USC School of Cinematic Arts en 2022, il travaille actuellement sur sa série, « Dyouf ».  (sous reserve)

Darin J. Sallam, réalisatrice et écrivaine jordanienne d’origine palestinienne, co-fondatrice de TaleBox à Amman. Son film « Farha » (2021), salué au Festival international du film de Toronto, est diffusé sur Netflix. Sélectionné pour les Oscars 2023, il a remporté le prix du Meilleur film jeunesse aux Asia Pacific Screen Awards. Sallam a été reconnue par Variety parmi les femmes influentes de 2023 et a reçu le Storyteller Award 2023 de l’IMEU.

Inas Halabi, artiste et cinéaste palestinienne née en 1988, explore l’expression des formes de pouvoir social et politique, ainsi que l’impact des histoires négligées sur la vie contemporaine. Ses récentes expositions incluent des événements internationaux tels que le Festival du documentaire Hot Docs au Canada (2023) et de Appel Amsterdam (2023). Elle vit et travaille entre la Palestine et les Pays-Bas.

Muayad Alayan né à Jérusalem-Est, réalisateur palestinien et co-fondateur de PalCine Productions, donne voix aux préoccupations palestiniennes à travers des films tels que « Mute » (2010) et « The Reports on Sarah and Saleem » (2018). Il forme la nouvelle génération de cinéastes et a contribué à la création des Palestine Film Meetings. Son dernier film, « A House in Jerusalem » (2022), a été présenté à la 12ème  édition de PFCE. (sous reserve)

Nadine Picaudou Catusse est spécialiste du Proche-Orient arabe contemporain. Après avoir été chercheuse au CERMOC, actuel IFPO de Beyrouth (Liban), elle a enseigné à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) et à l’Université de Paris I Panthéon –Sorbonne. Elle est notamment l’auteure de La Déchirure libanaise (Complexe 1989, 2 ed. 1992), Les Palestiniens, un siècle d’histoire (Complexe 1997, 2 ed. 2003), L’Islam entre religion et idéologie : essai sur la modernité musulmane (Gallimard 2010), La Décennie qui ébranla le Moyen-Orient, 1914-1923 (Flammarion 2017) et Visages du politique au Proche-Orient, (Gallimard 2018).

Saleem Albeik est un auteur palestinien. Il vit à Paris. Il est journaliste culturel spécialisé en critique cinématographique et également rédacteur en chef de la revue culturelle palestinienne Rouman. Il a publié plusieurs livres parmi lesquels, trois romans en langue arabe Deux tickets pour Safouriyya en 2017, Scénario en 2019 et L’œil du coqa en 2022.Toujours en langue arabe, il a dirigé le livre Palestine et le Cinéma en 2022. Son livre Réflexions sur le film palestinien vient d’être publié.

Colette Berthès, après une vie professionnelle faite de «mille métiers», se consacre désormais à l’écriture (romans, essais, récits, articles, etc) et participe à des conférences sur le Proche Orient. Elle partage sa vie entre le Proche Orient, Paris et le Tarn et Garonne. Membre fondatrice de Ciné-Palestine Toulouse, elle est engagée dans plusieurs associations dont France Palestine Solidarité.

Rabab Ejmail-Cathala, franco-palestinienne, architecte de profession, originaire de Taibey, Rabab a obtenu un Master d’histoire à l’EHESS, avec une étude sur les manuels scolaires dans les écoles arabes en Israël. Elle partage sa vie entre la Palestine et la France (Paris-Ariège)

Mahasen Nasser-Eldin, est une cinéaste Palestinienne, dont les films racontent des histoires de résistance et de résilience. Les récits sont soigneusement documentés et scénarisés. Ils redonnent vie à des personnages oubliés et célèbrent ceux qui sont en marge de la société. En tant que chercheuse, son travail se concentre sur la réutilisation d’archives visuelles et de compositions sonores réfléchies dans l’écriture de récits historiques de femmes déplacées, à travers le cinéma.